Mélodies utilisées pendant la Fronde
Ces airs utilisés pendant la Fronde (1648-1653) ont été enregistrés en 2024 par Karine Abiven, à partir de sources manuscrites de la fin du XVIIe siècle-début du XVIIIe siècle. La tonalité est librement adaptée, et l'interprétation ne prétend pas restituer la prononciation du français de l'époque, ni la manière de chanter ce type de chansons. Le but est de donner une idée de la forme de leur mélodie.
- Belle et charmante brune
- Branle de Metz
- Braves troupes frondeuses
- Cet homme gros et court
- La chasse du Parlement
- Confiteor
- Courante de la reine
- Elle est revenue dame Anne
- Les Enfarinés
- Faut sonner le tocsin
- Les Feuillantines
- La Grande Fronde
- La Petite Fronde
- Gagne Petit
- Grand'Guenippe
- Graveline
- Jean de Nivelle
- Jean de Vert
- Laissez paître vos bêtes
- Lampons
- Lanturlu
- Lère lère lère lanlère
- Mais
- Marion pleure
- Monsieur Parlement
- N'es-tu point du parti mon ami, de Condé, Longueville et Conti?
- O filii et filae
- O gué
- Or écoutez peuple de France
- Or nous dites Marie
- Par la Morguienne Vertudienne oui
- Les Petits sauts de Bordeaux
- Le pour et le contre
- Le Prévôt des marchands/Echelle du temple
- Quand je suis à taverne
- Qu'en dira-t-on
- Réveillez-vous belle endormie
- Revenez Monsieur le Cardinal
- Tintin Relintintin, tintin
- Turluturlu tutu
- Tuteur des rois de France
- Les Triolets
- Voici Cassandre
- Vous demandez quelle est ma peine
- Zeste
- Ton humeur est Catherine (32 bis)
- C'est l'amour qui nous menace (32 ter)